Abstract:
Je tiens, de prime abord, à remercier le professeur Jacques Moeschler qui m’a
encouragé à me pencher sur les temps verbaux du swahili, d’abord au niveau de mon
Diplôme d’Etudes Supérieures (DES) qu’il avait dirigé, et ensuite au niveau du doctorat.
La qualité de direction était remarquable malgré la distance qui nous séparait et les
séances de réflexion tenues chez lui en France ou en Suisse m’ont permis de
repositionner mon travail et d’en améliorer la qualité. Les conférences organisées dans le
département et plus récemment la conférence donnée par le professeur Moeschler à
l’Université de Nairobi, au Kenya en Afrique, m’ont été fort précieuses au niveau
intellectuel.
Je suis également reconnaissant à Anne Reboul qui a su si gentiment mettre à ma
disposition une gamme de livres sur les sciences cognitives et qui m’a soutenue
moralement et intellectuellement dans cette entreprise. Les conversations électroniques
avec Anne ont été indispensables à l’amélioration de ce travail.
Ma gratitude va également au professeur Eddy Roulet qui m’a beaucoup encouragé
à mon arrivée à l’Université de Genève. Il m’a fait comprendre qu’avec assiduité et
concentration je pourrais terminer mon DES en une année. Grâce à ce conseil, j’ai pu
terminer mon DES en moins d’une année.
Je remercie aussi la Société Académique de Genève qui a financé mon voyage et
mon séjour en Angleterre en 2001 pour présenter mes travaux de recherche à la
Conférence Internationale de l’Université de York. Les discussions intellectuelles à la
suite de ma présentation m’ont permis de retoucher certains arguments dans cette thèse.
Je remercie la Confédération Suisse et Mme Islamshah de l’Ambassade de Suisse à
Nairobi pour le soutien financier qui m’a permis de visiter la Suisse une fois par an en
vue de consulter mon directeur de thèse. Grâce à cette bourse j’ai réalisé mon rêve de
soutenir une thèse doctorale. Dans la même foulée, je remercie l’Université de Nairobi
qui m’a donné les congés nécessaires pour venir en Suisse.
IV
Ma femme Tijana trouvera ici une mention spéciale. Son amour pour moi a éclairé
mes pensées et soulagé mes pires angoisses dans la vie et son encouragement sous forme
d’idées ou de confort m’a permis de mener à terme ce travail. Rien ne dépasse l’amour.
Finalement, je remercie les membres du Groupe de Recherche sur la Référence
Temporelle (GRRT), à savoir Louis de Saussure, Bertrand Sthioul, Izumi Tahara, pour le
soutien moral et pour leur grande amitié. Que tous mes amis, Syvie Amisi, Dr KaregaMunene,
Joseph Mbuthia, Waithaka Waihenya, ma nièce Catherine Ciku et ma sœur
Catherine Wanjiku Kamande, qui s’occupent de mes enfants pendant mes déplacements
en Europe, soient ici vivement remerciés.
A tous et à toutes je dis Ahsanteni sana! (Merci beaucoup !)